Salomé Mulongo est doula de transition. Elle accompagne avec douceur les femmes ménopausées, les personnes en deuil ou en fin de vie, en leur redonnant accès à leur puissance intérieure grâce à l’écriture, à la naturopathie, aux soins énergétiques et au décodage biologique. À travers ses livres, ateliers et accompagnements, elle remet du sens là où la vie vacille, en transformant les passages difficiles en opportunités d’éveil, de vitalité et de renouveau.
Mes Accompagnements
Menop'Ose E.V.E.I.L.
Ménop’Ose EVEIL transforme la ménopause en passage initiatique. Un voyage puissant à travers le corps, les émotions, le mental, la spiritualité et la libido pour renaître libre, vivante et souveraine.
Fin de Vie
Mes accompagnements en fin de vie s’adressent aux personnes qui sentent que le temps se resserre et souhaitent déposer, transmettre ou simplement se relier à ce qui les habite profondément.
Deuil
Accompagnements destinés À toute personne qui traverse une perte : décès, fausse couche, deuil périnatal, deuil blanc, maladie grave, déménagement en maison de repos…
Récits de Vie
Un espace guidé où l’écriture devient outil de transformation.
Je recueille ton histoire, t’accompagne l’écrire ou à l’améliorer pour la rendre partageable sans te trahir ni trahir ton message.
Qui est Salomé Mulongo ?
Salomé Mulongo est métissée, tout comme son parcours. Assistante sociale, traductrice puis titulaire d’un master en sciences administratives, elle découvre la naturopathie et les ateliers d’écriture il y a 26 ans. Elle se forme, à son tour, en naturopathie, nutrithérapie, soins énergétiques, soins palliatifs et biographie hospitalière.
Aujourd’hui, elle est Doula de Transition et utilise tous ces outils pour accompagner les personnes en période de bouleversements – ménopause, deuil, fin de vie – et les aider à remettre du sens, du lien et le la vie là où tout vacille.
Mes livres
Mes interviews / publications
Vos questions
C’est quoi la différence entre naturopathe et nutrithérapeute ?
Tous deux sont des éducateurs de santé
Un·e naturopathe accompagne la personne dans sa globalité – corps physique, mental, émotionnel, spirituel, énergétique – en visant à identifier la cause profonde des déséquilibres. L’approche est holistique et individualisée (selon le profil ou le terrain de la personne), basée sur les piliers de la santé que sont l’alimentation, le sommeil, la gestion du stress, l’activité physique, la respiration, les relations humaines, le sens de la vie et le retour aux Lois de la Nature.
Le·la nutrithérapeute est plus centré·e sur les besoins du corps en nutriments. Son approche va très loin dans la biochimie, les carences, les nutriments, leur assimilation, les interactions entre aliments et pathologies. C’est une approche souvent complémentaire, plus « scientifique », qui peut intervenir de manière ciblée pour des déséquilibres physiologiques avec des protocoles éprouvés.
Moi, je me situe entre les deux: naturopathe dans l’âme, j’utilise les outils de la nutrithérapie pour leur puissance, lorsque mes outils de naturopathe ne sont pas suffisants our lorsqu’il y a urgence, mais toujours dans une vision plus vaste de la personne, de son histoire, de ses cycles de vie et de son terrain.
C’est quoi une doula de transition ?
Une doula de transition, c’est une accompagnante des passages de vie, de tous ces moments où l’identité se transforme : ménopause, deuil, fin de vie, changement de genre, maladie grave…
Je tiens un espace doux, sécurisant et sans jugement, où la personne peut déposer, se déposer. Mon rôle est de soutenir, d’apaiser, d’aider à mettre du sens, à travers mes outils (écriture, soins énergétiques, naturopathie, décodage biologique, parole, rituels parfois). J’aide à faire le deuil de ce qui était, et à accueillir ce qui vient.
C’est une traversée.
Est-ce que vous travaillez en visio ?
Oui !
Mes accompagnements (ménopause, deuil, écriture…) peuvent se faire en visio ou en présentiel.
Je m’adapte à ce qui est juste pour la personne. Le plus important, c’est la qualité de présence, pas le mode.
Pour les accompagnements de fin de vie, je remarque que les personnes ont souvent plus besoin d’être touchées, de sentir le souffle de vie des personnes présentes, des murmures, des chants et le présentiel me paraît plus adéquat. Mais, encore une fois, je m’adapte.